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Voir Katmandou et mourir
C'eut été un comble pour Le Sommet des dieux de n'avoir aucun relief. L'œuvre n'est ni plus ni moins qu'une cure d'altitude artistique sobre et poignante qui nous fera gagner de la hauteur sur le...
le 31 mai 2020
3 j'aime
Le Sommet des dieux, tome 1 par Celeano
Je trouve cet auteur incroyable.
Je n'arrive toujours pas à comprendre complètement comment il a réussi à me captiver pendant 5 tomes avec une histoire d'alpinistes. Je ne suis pourtant pas fan de grimpette dans le froid mais j'ai lu les cinq tomes d'une traite. (bon, c'était encore pire la fois d'avant avec l'histoire de ce type qui passe son temps à bouffer : Le gourmet solitaire)
L'histoire est captivante, les dessins superbes. Les personnages sont bien construits et donnent envie d'en savoir plus sur eux. On en vient à partager la fascination du narrateur pour Habu Jôji. Les situations et les conditions de vie des alpinistes de haute montagne paraissent terriblement réalistes (bon, en même temps, je n'y connais rien...).
Bien que ce manga se lise dans le sens de lecture original (de la gauche vers la droite), il est tout à fait accessible aux lecteurs qui ne connaissent que la bande dessinée occidentale. En effet, Jirô Taniguchi a été fortement influencé par la bande dessinée européenne et cela se ressent lorsqu'on le compare à d'autres mangakas.
A faire lire à tata Suzanne qui s'entête à dire que les mangas rendent agressifs les adolescents pré-pubères.
Je n'arrive toujours pas à comprendre complètement comment il a réussi à me captiver pendant 5 tomes avec une histoire d'alpinistes. Je ne suis pourtant pas fan de grimpette dans le froid mais j'ai lu les cinq tomes d'une traite. (bon, c'était encore pire la fois d'avant avec l'histoire de ce type qui passe son temps à bouffer : Le gourmet solitaire)
L'histoire est captivante, les dessins superbes. Les personnages sont bien construits et donnent envie d'en savoir plus sur eux. On en vient à partager la fascination du narrateur pour Habu Jôji. Les situations et les conditions de vie des alpinistes de haute montagne paraissent terriblement réalistes (bon, en même temps, je n'y connais rien...).
Bien que ce manga se lise dans le sens de lecture original (de la gauche vers la droite), il est tout à fait accessible aux lecteurs qui ne connaissent que la bande dessinée occidentale. En effet, Jirô Taniguchi a été fortement influencé par la bande dessinée européenne et cela se ressent lorsqu'on le compare à d'autres mangakas.
A faire lire à tata Suzanne qui s'entête à dire que les mangas rendent agressifs les adolescents pré-pubères.
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