Ce qui m’a touchée en premier en ouvrant les premières pages, ce sont les couleurs. Nuit envoutante du dessin qui vous plonge dans les rues d’une banlieue pavillonnaire de Cleveland au cœur des années 1980. Les traits des personnages, précis, ronds, évoquent au premier regard le monde de l’adolescence, les teenage movie et autres highschool des séries américaines.
(...)
Un comics féministe, mode teenage movie, futuriste et totalement années 80 (je ne dis jamais non à une petite ambiance Retour vers le futur). Une super lecture, des dessins magnifiques, des couleurs qui te happent au cœur de l’histoire, des personnages attachants (on est pas face à un groupe de filles mais à quatre filles bien distinctes avec leurs caractères et leurs spécialités), les péripéties sont inattendues sans laisser le lecteur ahuri, bref, un excellent moment qui se termine trop vite.
Une critique plus détaillée sur Pas de panique, par ici !
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 2 août 2017
Critique lue 249 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Paper Girls, tome 1
Je tiens à préciser que l'histoire, pour l'instant, n'a pas l'air d'être l'idée du siècle, mais le déroulement des évènements va peu à peu nous inspirer, et nous intéresser. C'est une BD qui d'abord...
Par
le 21 mars 2018
2 j'aime
Déjà en cours de maths ma prof disait "de la rigueur mademoiselle, de la rigueur", le sens du détails c'est définitivement ce qui fait la différence. J'ai trouvé cette BD totalement mauvaise. Sauf...
le 15 janv. 2017
2 j'aime
4
Les années 1980 reviennent à la mode, effet nostalgie, vintage ou générationnel. Et dans le sillage du trentième anniversaire de Retour vers le futur l’an dernier, nous avons pu découvrir diverses...
Par
le 27 nov. 2016
2 j'aime
Du même critique
Ce qui m’a touchée en premier en ouvrant les premières pages, ce sont les couleurs. Nuit envoutante du dessin qui vous plonge dans les rues d’une banlieue pavillonnaire de Cleveland au cœur des...
Par
le 2 août 2017
1 j'aime
Un poète et un homme d’affaires, ne sont pas dans un bateau comme l’auraient voulu les comptines de notre enfance, mais assis tous deux, les fesses dans le sable, sur une minuscule île déserte ornée...
Par
le 28 avr. 2017
1 j'aime
Splendeur de l’enfance ! Douceur des pages qu’on tourne calé·e sur son oreiller avant de se planquer sous la couette pour finir les « dernières lignes » quand il faut éteindre la lumière...
Par
le 12 avr. 2019
