Dans cet album, Tintin a, comme toujours, une invraisemblable moule de cocu ; parvient à s'échapper d'une voiture grâce à une scie dénichée je ne sais où (dans ses bagages ?) ; conduit, à la papa, une locomotive à vapeur ; trouve un puits de pétrole ; se permet la fantaisie de mettre Al Capone hors d'état de nuire ; rencontre des peaux-rouges, et sourit quand ils veulent le scalper ; fait le coup du "haut les mains !" sans arme à des gangsters ; se fait fabriquer un mannequin à son effigie genre "Gaston latex" ; et parle à son chien. Vous l'aurez compris, c'est divertissant mais pas très cohérent. En fait, ce serait plutôt "Tintin à Hollywood"... Ah, l'Amérique !