J'ai toujours cette sensation mêlée d'incrédulité et de malaise à la lecture des aventures du petit Riad. J'ai envie de faire une comparaison complètement tirée par les cheveux, mais c'est comme la lecture des Malheurs de Sophie : je reste scotchée alors qu'on me donne à voir une compilation édifiante des moeurs du XIXème siècle et j'y vois tout ce qu'elles ont de problématiques, sans qu'on insiste particulièrement sur ça. Mais à hauteur d'enfant, on ne peut s'empêcher de trouver ces milles anecdotes rafraîchissantes. Déroutant.