BD franco-belge de Fabrice Caro (Fabcaro) et Didier Conrad (2025)
Je suis plutôt positivement mitigée sur ce nouvel opus.
Ce qui m'a chiffonnée : la brusquerie du prétexte au départ (deux planches et c'est plié), l'exposé du plan d'Astérix répété (scénario assez linéaire, répétition du déguisement), les fonds de couleur simple sans décor en grand nombre (peut-être était-ce le cas dans les albums précédents mais là ça m'a sauté au yeux), des blagues assez convenues (mot de passe complexe par ex.)
Ce qui m'a plu : que le scénario tourne autour d'un abus de pouvoir économique, la constance de la mélancolie des portugais et les quiproquos sans conséquences d'Obélix, certains jeux de mots plus brillants / amusants, la relation Astérix-Obélix, une vieille amitié qu'on a plaisir à retrouver.
Un moment de lecture pas décoiffant mais qui reste sympathique !
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Créée
le 25 oct. 2025
Critique lue 6 fois
Une histoire d'Astérix, qui veut prouver l'innocence d'un ami condamné à mort à cause des manigances d'un concurrent.Et on se retrouve en Lusitanie (Portugal) pour de nouvelles aventures.Pas mauvais...
Par
le 1 nov. 2025
4 j'aime
Astérix, terre de contrastes. Avec L'Iris blanc, Fabcaro et Conrad sortaient la série culte de l'ornière de l'exploitation commerciale avec un scénario facétieux à la Goscinny porté par un dessin...
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le 30 oct. 2025
3 j'aime
2
Si sur les dernières tentatives, quelques albums "village" ont tiré un peu leur épingle du jeu (le dernier "L'Iris Blanc" et "Le Papyrus de César"), j'ai l'impression que cela fait des décennies...
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le 27 oct. 2025
3 j'aime
Ouuh les fourmis du militantisme quand tu lis ce texte ! Ses défauts d'abord : je trouve que la construction, surtout vers la fin, pêche un peu. Son côté fourre-tout m'a un peu décontenancée et je...
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le 31 oct. 2020
26 j'aime
3
Je reste là et je ne sais pas quoi dire. J'ai fini le livre tout à l'heure et je reste là, je ne sais pas quoi dire. Si j'aime autant Steinbeck c'est peut être parce que son écriture est très humble...
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le 20 oct. 2013
24 j'aime
4
J'aurais aimé mettre une note plus importante pour rendre hommage à deux supers scènes : la première, la descente de l'escalier infernal avec perdition dans le parking immense (et porte ouverte sur...
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le 16 janv. 2013
19 j'aime
4
