12 Years a Slave, Un mélange subtile de casting qui fait rêver et de nouveau grand du 7eme art à n'en pas douter.
Le métrage, plutôt lent nous évoque tout de même un faux rythmes durant l'élément perturbateur, un laps de temps qui fais tout basculer, irrémédiablement.
L'ambiance du film! parlons en! Une saccade filmographie au début qui, au fût et a mesure tend a faire porter l'oeil sur toute choses environnante, peut-être même trop, mais ça me va! la scène qui restera pour moi la plus marquante est bien celle de la pendaison de Plate, les autres esclaves ne pouvant rien, ne le voyant même plus, et cette prise absolument interminable tu plan large où l'on voit comme jamais la corde de l'arbre en hauteur jusqu'a sont attache en bas, McQueen n'aurait pas pu mieux faire pour représenter la descente de Solomon dans la société, de libre et riche a esclave puis à esclave pendu.. l'attache représente bel et bien l'état actuel dans lequel il se trouve dans la scène..
Une fin où les kleenex pourrait servir à de nombreuses personnes, une fin ou d'un coup d'un seul il se retrouve dans sa maison, dans sa famille ne sachant que leur dire après 12 années d'absence, un homme brisé, une famille attentiste, une Happy End qui fait chaud au coeur.
Et une remise en question de tout ce que nous pouvons penser de bon ou mauvais. Par dieu, l'importance de Dieu à l'époque, ce qui différencie les actions brave et digne des actions autorisé par les lois, les lois change, mais pas les principes des hommes, et c'est ce que les homme font passer pour la parole de dieux, ce qui est de plus digne.
Un chef D'oeuvre, un Métrage qui m'a couper de souffle et donner de nombreux frissons pour nombres de raisons, bref, 10 sur 10 ou rien.