Ça démarrait plutôt bien mais…non
Si seulement je m'étais souvenu de ça!
Règle numéro 1 : Ce qui plaît au plus grand nombre n'est pas forcé de te plaire à toi!
Règle numéro 2 : Les américains sont les rois du sponsoring, God bless the capitalism (Pepsi, Benetton pour ne pas les citer).
Règle numéro 3 : Ça reste un film de zombie au fond, donc on n'est pas forcé de s'attendre à un oscar.
Vous l'aurez sans doute deviné, tout comme j'en suis sure vous aussi aviez deviné la fin du film, ce film ne restera pas dans mes annales.
PART ONE: (nous sommes à Londres je m'adapte!)
Quelques essentiels bien respectés:
- un décor de fin du monde réussi
- une question cruciale (mais ou sont donc passé les gens?)
- un acteur qui semble vraiment perdu (quoi on lui a pas expliqué le scénario à lui non plus?)
Mais très vite, oui je dis bien très très trèssss viiiite (8 ème minute) on nous montre un plan général de la ville, puis des petits souvenirs Big Ben étalés sur un pont et puis... au tiens... le vrai Big Ben, un bus rouge, le London Eye……..Quoi j'ai dis deux fois Big Ben? Bin maintenant ça fait trois! Heu... ok je m'égare… Pourquoi Mr Boyle nous fait-il faire une visite touristique de Londres? Eux aussi sont sponsors?
PART TWO : Je vais vous épargner le résumé mais bon la vraiment la psychologie des personnages par en vrille, on nous sert de bon gros clichés du style les militaires obscènes et obsédés fou de la gâchette. La nana qui était une Michonne en puissance se transforme en flipette. Un grand moment de cinéma avec la mort par crevaison des yeux (malheureusement je ne connais pas le terme exact, je me renseignerai à l'occasion).
Allez, j'ai quand même aimé une ou deux petite choses.
Oui j'ai sursauté une fois ou 2, oui la musique colle assez bien à l'image et oui ceci est ma première critique. Alors finalement peut être que je m'en souviendrai d'ici 28 jours...