Crazy Clown Time
Le cinéma de Rob Zombie m’inspire le plus profond respect, un des rares réalisateurs de genre horrifique actuel sachant rester cohérent envers son univers en assumant sa démarche et ses références,...
le 19 sept. 2016
31 j'aime
5
Je surnote intentionnellement d'un point ce "petit" film bis de l'ami Zombie parce que toutes mes attentes ou presque de l'année auront été déçues. Alors quand ce vieux Rob, nous la joue cradingue, grindhouse et toujours rock and roll en balançant non plus une bande de jeunes dans les crocs de timbrés mais une bande de vieux briscards contre des barges allant du nain nazi jactant espagnol aux tronçonneurs fous, ça change l'air vicié du moment. Mais bon, on est quand même loin des deux premières bombes du bonhomme...
Créée
le 19 sept. 2016
Critique lue 634 fois
3 j'aime
4 commentaires
D'autres avis sur 31
Le cinéma de Rob Zombie m’inspire le plus profond respect, un des rares réalisateurs de genre horrifique actuel sachant rester cohérent envers son univers en assumant sa démarche et ses références,...
le 19 sept. 2016
31 j'aime
5
Sur ce coup nul doute que Rob Zombie s'est fait plaisir en revisitant à sa sauce le "Texas Chainsaw Massacre" de Tonton Hooper. Comme on pouvait l'attendre avec Robert, ça pue le sexe et la sueur,...
Par
le 21 sept. 2016
23 j'aime
4
Salut, certains m'appellent Doom-Head. J'utilise pas se pseudonyme en public mais je suis Dom-Head à leurs yeux. Aux yeux de Qui ? Une bande de mystérieuses personnes qui me donnent plein de grosses...
Par
le 23 janv. 2017
12 j'aime
6
Du même critique
L'ami James Wan confirme avec sa seconde incursion dans le domaine de la maison hantée qu'il est l'un des meilleur réalisateur de série B depuis la pré-retraite méritée de Carpenter. La mise en...
Par
le 26 juil. 2013
16 j'aime
7
Ce qu'il y a de rassurant avec Luc Besson, c'est qu'il est constant dans la médiocrité et qu'il tend parfois à la nullité sublime (voir l'abominable Jeanne d'Arc). Cette fois l'ami Luc (peut-être...
Par
le 23 sept. 2013
15 j'aime
18
Infinite commence comme un blockbusters très con, mais plutôt bien mise en scène (Fuqua est un yes man mais un yes man avec du talent (voir Training Day et le premier Equalizer). On ne comprend pas...
Par
le 16 juin 2021
10 j'aime
2