Noël 2009, je retrouve une perle évoquant mes premiers frissons cinématographiques. Un film que j'avais regardé une première fois alors que je logeais chez mon meilleur ami, quand mes parents écumaient encore les boîtes lors de la Saint-Sylvestre.
C'est l'histoire d'un petit garçon prénommé Thomas qui vit dans un château entouré de jouets électroniques bien eighties et qui contacte le Père Noël par Minitel mais c'est un meurtrier qui lui répond. TADAAA. Ce dernier, voulant se venger de la mère du garçon qui l'a viré de son job de Père Noël au grand magasin de jouets dont elle est pédégère, débarque dans le château et tue le brave chien d'un coup de pelle à tarte. Scène d'ultra-violence pour un gosse de dix ans.
S'engage alors une lutte sans merci, Home Alone style, en un peu plus gore et un peu plus comment dire... « Masturbation cinématographique française », René Manzor ayant déjà réalisé Le Passage avec quasiment la même équipe. Puis le film est tout de même produit par Francis Lalanne himself !