Le fermier, le pervers, la féminité, l'humanité ... tout y est !!

" Mais ce western est aussi une fable, ce que confirmera le final. Quelques séquences ont pour témoins des enfants et sont filmées à leur hauteur par l’intermédiaire de légères contre plongées : les personnages sont ainsi vus malgré leur complexité, avec une certaine naïveté, faisant de ceux-ci des modèles soit d’honnêteté (le fermier), de perversité (le bandit), de féminité (La barmaid) ou d’humanité (la mère) "


http://www.dvdclassik.com/critique/3-h10-pour-yuma-daves


N’ergotons pas davantage : 3h10 pour Yuma est un chef-d’œuvre du genre, et un chef-d’œuvre tout court. Daves en faisait son western préféré parmi ceux qu’il avait tournés, et on comprend pourquoi. La réussite éclate du début à cette fin lyrique, suspendue par la chanson thème (B.O) magnifique, ni attendue ni mièvre.

Chicago
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le 5 juin 2019

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