Des comme ça, j'en fait un tout les matins
Énorme bouse de 2014, 47 Ronin est un film complétement lourdé et extrêmement prétentieux. Pourtant tout commençait bien, une belle photographie, une réal soigné et un contexte séduisant, puis... plus rien, le film ne démarre jamais, on nous pose une intrigue farfelus et déstructurée au possible, on ne voit jamais où l'histoire veux en venir. On passe de lieu en lieu sans trop savoir pourquoi, et au bout de presque 2h, enfin, oui enfin, on à droit a des combats... mal filmé, vite expédié et une fin nanardesque au possible. En réalité, on est pas loin de Dragon Ball Evolution, mais avec un peu plus de soin, c'est navrant.
Ah, et vous savez Skull Boy (le monsieur tatoué présent sur l'affiche et qu'on a vu sur plein d'affiche promotionnelle), il n'a aucun rôle, il apparait sur 2 plans furtif et on l'oublie aussitôt.