Rêve pourri
Ho ben ça c'est amusant. Le premier film pour le cinéma de Hal Ashby met en scène Beau Bridges et son dernier toujours pour le cinéma met en scène Jeff Bridges ! Je sais pas trop quelle conclusion...
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Finalement, malgré la signature prestigieuse de Hal Ashby à la direction de "8 Millions de Façons de Mourir", on se rend compte rapidement que l'on a affaire à un petit polar, du genre passe-partout, et surtout, c'est plus grave, mou, mou, mou ! De nombreuses scènes sont néanmoins sauvées par les interprètes, qui se dépensent sans compter. On se rappelle alors que Ashby n'a jamais été un maître du rythme ou de l'atmosphère, deux éléments fondamentaux d'un thriller réussi, mais un excellent directeur d'acteurs. Disons donc que ce genre de projets n'était pas pour lui... [Critique écrite en 1986]
Créée
le 29 avr. 2015
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