Il y a deux manières d’apprécier A l’intérieur. D’un point de vue strictement gore, le film est déjà une performance puisqu’il repousse toutes les limites du genre : ultraviolence et ultraréalisme semblent avoir été les maîtres mots du duo réalisateur, celui-ci ne reculant devant rien pour susciter à la fois effroi total et stupeur (oui, ce qu’on ne veut ou n’ose pas imaginer, eux le figurent et vous l’envoient comme une claque). Mais on peut aussi se réjouir, dans ce premier long métrage, du soin apporté à l’esthétique, à la beauté revêtue par ces corps traumatisés, déchiquetés sous nos yeux.
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Francois-Corda
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le 17 sept. 2018

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François Corda

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