- Dans le royaume d'Agrabah, le vizir Jafar, cherche à s'emparer d'une lampe magique enfermée dans une grotte mystérieuse. De son côté, le jeune et pauvre Aladdin vit de petits larcins en compagnie de son singe, Abu. Un jour, il fait la connaissance de la princesse Jasmine, fille du Sultan. Aladdin en tombe instantanément amoureux. Mais il est capturé par Jafar, qui le pousse à entrer dans la grotte pour aller chercher la lampe. Dans cette dernière, un génie capable d'exaucer trois vœux est tenu captif.
Si demain je ne devais retenir que deux personnages de l'univers Disney, le premier serait Hadès, qui est exceptionnel.
Le second serait évidemment Le Génie de la lampe.
Les 1001 Nuits racontées par Disney sous une dose d'humour et de personnages haut en couleur, voilà comment on pourrait résumer ce film.
Film d'animation oblige, la VF sera présente pour moi. Désole monsieur Robin Williams, je n'ai rien contre vous (bien au contraire), mais je ne peux m'empêcher de chanter avec Richard Darbois.
C'est d'ailleurs une des VF les plus communicative à mes yeux (hormis les Pixar). Remplit de bonnes intentions et d'envie !
Les blagues ne seront pas peu présente, et entre Iago et Abu, on aura notre lot de vannes (sans oublier Le Génie).
Eric Métayer (qui est surement mon doubleur de dessin animé préféré) se lâche complétement et à l'air de passer un excellent moment en interprétant le perroquet de Jafar.
C'est aussi le seul Disney que je trouve rapide dans sa conclusion, mais aussi le seul qui me fait me dresser les poils lors de la libération du Génie.
Visuellement sans défaut (même si plus soft que certaine production), alternant décors intérieur et extérieur, Aladdin reste le Disney très rafraichissant.
Même si Jafar reste le personnage le plus creepy de la firme (rappelons qu'il veut se marier avec une fille qui est à peine majeure alors que lui se rapproche plus de la retraite qu'autre chose).
Moins traumatisant que pendant mon enfance (la caverne aux merveilles reste ultra oppressante en tant qu'enfant) ; c'est remplit de bonheur et de sourire que je finis chacune de mes séances d'Aladdin. Même vingt ans après et même après une trentaine de visionnage.