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Le parti radical
En ces temps de sucreries dégoulinantes, de scénarii asexués, aseptisés et lobotomisés, il y a une chose qu’on ne peut pas reprocher au film de J.C. Chandor, déjà remarqué –pour de bonnes ou...
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C'est pas l'homme qui prend la mer...
Après l'épopée merveilleuse de "L'odyssée de Pi", J.C. Chandor nous propose une autre odyssée beaucoup plus radicale. Redford. Un bateau. La mer. Et rien d'autre.
En effet, Robert Redford est l'acteur unique de ce drame où un homme dont le bateau vient de subir une avarie (coque trouée) va devoir affronter une tempête en pleine mer.
Si passer 1h40mn devant un film avec un seul acteur et dont les dialogues ne doivent pas dépasser les vingt lignes peut en rebuter certains cela a surtout pour effet de renforcer la sensation d'isolement du personnage ainsi que le réalisme de la situation et de décupler l'intensité des enjeux dramatiques, notamment la survie du personnage, créant ainsi chez le spectateur une empathie immédiate envers cet homme perdu au milieu de nulle part.
Ajoutez à cela les scènes de tempête maritime les plus réalistes et impressionnantes jamais vues sur un écran et vous obtenez un excellent film qui nous tient en haleine jusqu'au dénouement que chacun interprètera à sa façon.
En effet, Robert Redford est l'acteur unique de ce drame où un homme dont le bateau vient de subir une avarie (coque trouée) va devoir affronter une tempête en pleine mer.
Si passer 1h40mn devant un film avec un seul acteur et dont les dialogues ne doivent pas dépasser les vingt lignes peut en rebuter certains cela a surtout pour effet de renforcer la sensation d'isolement du personnage ainsi que le réalisme de la situation et de décupler l'intensité des enjeux dramatiques, notamment la survie du personnage, créant ainsi chez le spectateur une empathie immédiate envers cet homme perdu au milieu de nulle part.
Ajoutez à cela les scènes de tempête maritime les plus réalistes et impressionnantes jamais vues sur un écran et vous obtenez un excellent film qui nous tient en haleine jusqu'au dénouement que chacun interprètera à sa façon.
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le 10 févr. 2015
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