An American Crime -- L'horreur à son paroxysme

" SPOILER " Je raconte beaucoup sur ce film d'une horreur vécue et non comme un film d'horreur à la con, alors si vous ne l'avez pas vu, ne me lisez pas, où faites comme bon vous semblent mais j'écris bien "SPOILER POUR TOUT "
J'ai visionné ce film avec un dégoût certain pour le genre humain en général, l'homme est capable des pires sévices qu'ils soient, soit envers des enfants, des adultes (souvent des femmes) et des animaux. Ce crime digne des pires sadiques qu'il soit et ce cauchemar à commencer lorsque les parents des deux jeunes filles (des forains, gens du voyage, comme l’on dit souvent) les ont laissés en pension chez la famille Baniszewski (trois mois avant la mort de Sylvia) Sylvia Marie Likens, 16 ans soeur: Jenny Faye Likens, 15 ans. Les parents (Likens) des deux jeunes filles payaient 20$ par semaine pour couvrir les frais.
Puis le drame et l'horreur ont commencé sur la personne de la jeune Sylvia où l'on peut dire qu'elle a connu l'horreur inimaginable de la séquestration et de la torture sous toutes les formes les plus infâmes et les plus horribles.
Ci-dessous le compte rendu de :
l'autopsie du corps de Sylvia Likens a révélé de nombreuses brûlures, des contusions et des lésions nerveuses et musculaires. Dans son agonie, Sylvia s’est mangé les lèvres. Sa cavité vaginale a été coupée et brûlée, un examen du canal détermine formellement que son hymen était encore intact, ainsi les affirmations des Baniszewski selon lesquelles Sylvia était une prostituée et leur insistance sur le fait qu'elle était enceinte, ont pu largement être démontées au cours du procès. La cause officielle du décès était un œdème cérébral, hémorragie interne du cerveau.
Vous savez il ne faut pas aller aux USA pour trouver ce genre d'histoire d'êtres martyrisés, en France, tout comme en Belgique avec les monstrueuses histoires d'horreur de Julie et Mélissa et celles d'autres enfants martyrs ont défrayé la chronique à une époque pas si lointaine que ça et l'on en découvre encore aujourd'hui.
Le film a été très bien réalisé et interprété, faut bien que l'on montre au monde qui nous entoure qu'il y a eu et encore plein de ces drames, sinon se voiler la face en ne disant rien est comme un aveu de ne jamais rien voir, ni savoir et laisser ces abominations se perpétuer dans l'ombre et rien que pour leurs mémoires, savoir sans comprendre est encore pire pour le martyr que ses victimes ont subi. J'ai découvert cet article officiel sur le net et je vous les ai transcrit, pour que vous puissiez bien vous rendre compte de l'horreur, quoique le film rende bien le drame qui s'y est déroulé en été 1965 dans l'Indiana. Par (chance...) la jeune soeur de Sylvia n'a pas subi quant à elle de tels sévices, tellement la peur la paralysait et qui faisait tout ce que cette sale ordure de femme lui demandait, mais elle n'a jamais participé à aucune torture (sauf sa propre torture morale) commit sur sa soeur, mais elle devait-être présente chaque fois que l'on martyrisait sa soeur Sylvia (quelle horreur pour cette jeune soeur sous effroi).
Personnes n'aiment voir ce genre de film, mais les voir c'est de savoir et de se dire que des pourritures comme celles-là existent, et l'on doit honorer leur vie de martyrs et mettre à faire la chasse sans répit à tous ces monstres que la nature a osé laisser vivre dans notre société dite moderne. Je note le film 5 étoiles sur 5, avec un chagrin énorme pour toutes ces pauvres victimes de la vie. La mort de ces ordures sans nom, serait une meilleure justice, ou une peine à perpétuité en quartiers d'isolement total sans jamais oser un jour les laisser revoir le jour, ça c'est pour moi de perpétuité et non celle de bas-étages et que l'on libère après un certain nombre d'années de prison pour bonne conduite ou je ne sais quelles autres conneries que l'on parvient à leur trouver comme pouvant réintégrer la société.