Après un excellent Conjuring, nous voilà servi une préquelle qui n'avait en fait absolument rien de nécessaire.
Bourrée d'incohérence, celle-ci nous raconte les prémices du personnage d'Annabelle, qui habite cette poupée tout à fait inquiétante mais qui pourtant ravi les femmes apparemment...
Tout est téléphoné au possible. J'ai passé plus de temps à essayé de deviner (en tombant à 90% juste) la suite des événements qu'à me taire et profiter de l'ambiance.
Et au final, ce qui nous a fait le plus flipper, c'est quand j'ai fait tomber mon verre Simpsons par terre... mais ouf, il n'a pas cassé ! Il doit être habité lui aussi...