Dans cette suite, Annabelle – La Maison du Mal explore à nouveau le concept de la maison hantée, utilisant aussi bien Annabelle que les autres artefacts démoniaques se trouvant en possession des Warren. Le problème, c’est que le film semble parfois être à la recherche de son prochain spin-off (la mariée du mal, le soldat japonais du mal, le petit singe du mal… peut-être ?), quand il ne donne pas dans la redite. Car il n’y a malheureusement plus grand chose à exploiter dans cette franchise, puisque ce chapitre reprend lorsque les Warren récupère la poupée dans le premier Conjuring, qu’on a vu sa création dans Annabelle 2 qui lui-même se situait juste avant Annabelle 1. La boucle était déjà bouclée et ce troisième chapitre sert uniquement de prétexte pour capitaliser sur une franchise qui s’essouffle, dans un univers horrifique qui a beaucoup de mal à rester à la hauteur des films réalisés, à l’origine, par James Wan, comme la série cousine Insidious.
Avis complet : https://dunnozmovie.com/2019/07/08/critique-annabelle-la-maison-du-mal-de-gary-dauberman/