Critique sociale ambivalente sur fond de dystopie dénonçant les activités libérales des labos pharmaceutiques, tout en faisant la promotion de l'adoption gay, donc de la GPA, donc du trafic d'organes, donc de la traite des femmes, donc des actionnaires des labos pharmaceutiques, donc de la livre de chair humaine prostituée et cotée en bourse ..............
Le traitre majeur du film arbore ostensiblement une énorme croix Chrétienne, faut bien qu'on la voit, ce qui revient à faire la promo des comportements sociaux issus du dictat judéo-protestant ultralibéral, responsable des errances de la société contemporaine et de son corollaire islamique : inversion standard, bientôt ce sera la faute des bouddhistes ...
Cynisme intégral à la fin avec le suicide du représentant de la chair à canon locale.
Un beau produit issu de la collaboration d'une bande d'abrutis inaptes à la systémique en sociologie et de quelques sociopathes dominants occupés à noyer le poisson.
Le dieu pompier pyromane a encore déféqué ......