Arsenic et vieilles dentelles par bidulle3
Critique, ayant publié de nombreux ouvrage contre la mariage, Mortimer Brewter va épousé la ravissante Elaine Harper. Juste avant leur départ part la lune de miel, les amoureux, mais également voisin rentre chez eux préparer leur bagage, c'est alors que Mortimer va découvrir que ces deux tantes ont assassiné un homme et qu'il n'est pas le premier. Alors que tout semblais de plus en plus désorganisé, l'arrivé de Jonathan, le frère de Mortimer, va tout changer ... Malheureusement ce changement change la physionomie du film aussi, car si le début est relativement savoureux, la suite est plutôt brouillonne. Frank Capra, grand humaniste, à voulu démontré que l'apparence ne faisant pas la personnalité des gens, qu'il ne faut pas se fier au personne simplement par leur visage, et de ceux point de vu la, c'est réussis, le parallèle entre les dame âgée et l'homme au visage scarifié, ténébreux et repoussant incarné part Raymond Massey fonctionne assez bien, mais le film lui perd en qualité, bien que soutenu part l'arrivé de Peter Lorre. La satisfaction du film demeure en Cary Grant qui nous tient à lui seul, dans ces situations, ces réplique, et son envie, mais il se trouve bien esseulé autour de se grand bazar. Avec "Arsenic et vieilles dentelles" Frank Capra a voulu réalisé une grande comédie, mais le but premier d'une comédie est de faire rire, et celle-ci ne fait pas rire, quelque sourire de part les cocasserie, mais le film tombe dans une ambiance répétitive, peut être dû a la façon théatrale de la mise en scène. Cette comédie est avant rempli d'humour noir, politiquement incorrect et dérangeant pour l'époque, dommage que le rire est absent.