FLEURET MOUCHETÉ

Après le très honnête MacBeth, Justin Kurzel retrouve Michael Fassbender et Marion Cotillard dans l'adaptation de la prestigieuse saga de jeux vidéos Assassin's Creed, qui décrit la lute à mort que se livrent d'un côté les Templiers, pourfendeurs du libre arbitre et de l'autre les Assassins, protecteurs agissant dans l'ombre.

Alors l'avantage de ce genre de film c'est que je n'y ai jamais cru. Dès la mise en chantier je sentais venir la supercherie. Pourquoi ? Parce qu'Assassin's Creed est l'exemple PARFAIT du mal actuel du cinéma : L'inutilité. Ce film est inutile. Le jeux de base est déjà en lui même une expérience cinématographique de qualité. C'est le problème quand on adapte des jeux récents, il n'y a rien de visuel à lui apporter, la console a déjà fait le boulot. Donc il n'y a rien. Cotillard s'emmerde à regarder Fassbender essayer d'être dans tout les films qu'Hollywood a produit cette année et Fassbender joue le rebelle et tient sa ligne pendant 2 heures à coups de séances intensives de Step Abdos Fesssiers. Niveau mise en scène, c'est mal filmé, c'est brouillon, c'est confus, même pour un initié. Alors je vous dis pas ce que ces 2 heures de chianlie doivent paraître pour le profane.

(La réponse est dans la question)

RustyCherno