Maitre Leeroy l'a dit :
" Faut qu’ça tabasse comme des putains d’coup d’battes. Ambiance Mad Max, dance hall time sur l’asphalte " ... et ici c'est bien de cela qu'on parle ; d'action, de flingue et de bagnole ! mais pas que ...
Car Baby Driver réunit 3 choses essentielles pour un fonctionnement nickel :
- L'artistique : somptueux !
- Le casting : au top !
- Le script : fun !
Visuellement on ne peut qu'être dans le bain immédiatement, c'est classe de haut en bas ! de la coupe de cheveux à la paire de chaussures, de la carrosserie jusqu'au pneu, de la paire de lunettes à la paire de ... bref ! ça cartonne de mode et de style et le film, grâce à sa direction artistique, va nous tenir les yeux en éveil pendant 1h53.
Quand on nous pond une affiche avec des noms comme Kevin Spacey, Jon Hamm ou Jamie Foxx on est un peu rassuré d'entrée, certes, mais on a tout de même tendance à prier pour que le reste du casting ne nous fasse pas regretter d'avoir fait confiance à la prod. Et c'est avec brio qu'Ansel Elgort, alias Baby, fait taire vos doutes à jamais !
La trame principale, quant à elle, est simple au possible, mais quand c'est cool ... c'est largement suffisant !
En résumé, Baby Driver n'est, non pas un cocktail explosif ( ça serait trop en faire ) mais un cocktail qui permet largement de se délecter les papilles. Il est de ces films que l'on peut conseiller sans trop se tromper à un large publique.
bananas.