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Dirty Papy.
Après la saga culte Jackass, Monsieur Jimmy Knoxville (Tolérance Zéro, La Filature), reviens avec ce spin-off et repousse encore les limites de la bêtise humaine en inventant des caméras cachées...
Par
le 17 juil. 2017
4 j'aime
Quota d'obèses explosés!
Durant la première partie du film, j'étais dépité par la platitude des scènes, du manque de rythme, de l'absence de folie, j'avais l'impression de voir une version de "Jackass" tout public. Fort heureusement, la seconde partie renoue avec l'esprit délirant et sans limites de celle-ci.
Au début, les réactions des gens prêtaient à sourire, plus que les actions censés fait rire. Il faut attendre la scène dite "on refait le crépit du snack en marron", pour enfin rire, la scatologie ayant l'incroyable capacité à me faire rire bêtement. A partir de ce moment-là, le film enchaînera d'autres moments absurdes et drôles, remplissant enfin son objectif, même si je peux lui reprocher sa scène des "mini-miss", fortement inspiré de l'excellent "Miss Little Sunshine".
Un bon divertissement, du Jackass presque tout public, avec une partie fiction mignonne grâce à la bouille de ce gamin obèse, aux personnages qui traversent ce film, souvent élevés aux hamburgers et sodas, une petite ballade dans l'Amérique cachée, le tout avec humour, à voir.
Au début, les réactions des gens prêtaient à sourire, plus que les actions censés fait rire. Il faut attendre la scène dite "on refait le crépit du snack en marron", pour enfin rire, la scatologie ayant l'incroyable capacité à me faire rire bêtement. A partir de ce moment-là, le film enchaînera d'autres moments absurdes et drôles, remplissant enfin son objectif, même si je peux lui reprocher sa scène des "mini-miss", fortement inspiré de l'excellent "Miss Little Sunshine".
Un bon divertissement, du Jackass presque tout public, avec une partie fiction mignonne grâce à la bouille de ce gamin obèse, aux personnages qui traversent ce film, souvent élevés aux hamburgers et sodas, une petite ballade dans l'Amérique cachée, le tout avec humour, à voir.
6
Écrit par
Créée
le 19 déc. 2013
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