Si je ne connaissais pas le sens de ce mot, j'en imaginerais une définition par l'exemple assez proche de Big Fish. L'univers est loufoque et joyeux au possible, comme je les aime ! On reconnaît la patte de Tim Burton dans les villes et personnages édulcorés et parfaits à en vomir, mais aussi avec quelques indices ci et là − comme le premier produit vendu par notre héros.
Mais ce qui est le plus beau dans Big Fish, c'est qu'une fois le générique de fin terminé, vous n'avez toujours pas fini de vous demander ce qui était vrai, ce qui ne l'était pas, et ce qui l'était partiellement ; et quelques minutes de réflexion plus tard, vous comprenez que cela n'a aucune espèce d'importance !