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Bruges la belle
Bons baisers de Bruges : ce n'est pourtant pas a priori le genre de film qui me transporte, mais au delà du sujet qui met en scène des tueurs avec la violence inhérente au genre, se profile une...
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le 26 août 2011
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Jus' like a fuckin' fairy tale !
La bande-annonce nous mettait dans l'ambiance d'un film très calé humour et relativement pétillant. Il faut parfois apprendre à ne pas se fier aux bandes-annonces.
In Bruges (Bons Baisers de Bruges pour les intimes) se révèle être un film bien plus posé et nettement plus réfléchi que ce qu'on attendait. Une sympathique histoire de gangsters sur le thème du pardon et de l'expiation. L'humour est bien présent, et il y grince des dents, tandis que les dialogues sont bien pensés. Le côté "carte postale" de la présentation de Bruges ne choque pas trop, car elle s'oppose parfaitement à l'état d'esprit de Ray.
Le casting est un gros point fort du film. Colin Farell est impeccable dans le rôle de la petite frappe dépressive, l'interprétation de Brendan Gleeson est pour le moins touchante et Ralf Fienes, qu'on ne voit hélas pas assez, est aussi excellent dans son genre. Le bémol revient toutefois à Clémence Poésy, qui est un peu là sans l'être.
On se plaindra néanmoins de quelques longueurs par-ci-par-là, mais au fond la pilule passe assez bien.
Le film est à voir, pas la bande-annonce.
In Bruges (Bons Baisers de Bruges pour les intimes) se révèle être un film bien plus posé et nettement plus réfléchi que ce qu'on attendait. Une sympathique histoire de gangsters sur le thème du pardon et de l'expiation. L'humour est bien présent, et il y grince des dents, tandis que les dialogues sont bien pensés. Le côté "carte postale" de la présentation de Bruges ne choque pas trop, car elle s'oppose parfaitement à l'état d'esprit de Ray.
Le casting est un gros point fort du film. Colin Farell est impeccable dans le rôle de la petite frappe dépressive, l'interprétation de Brendan Gleeson est pour le moins touchante et Ralf Fienes, qu'on ne voit hélas pas assez, est aussi excellent dans son genre. Le bémol revient toutefois à Clémence Poésy, qui est un peu là sans l'être.
On se plaindra néanmoins de quelques longueurs par-ci-par-là, mais au fond la pilule passe assez bien.
Le film est à voir, pas la bande-annonce.
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Créée
le 16 sept. 2011
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