Bronson de Winding Refn. Bon depuis la trilogie Pusher, y a toujours un regard porté sur ce cinéaste. Dans le rôle principal : Tom Hardy dont j'aime assez le jeu d'acteur. Un bon gars. Le film en lui même, ouais sans plus. Sous doute aussi parce que je m'attendais à beaucoup plus venant d'un tel cinéaste.
Ce "Bronson" c'est un sacré personnage pour un type existant pour de vrai. Du coup, je suis plus fasciné par ce type que le film en lui-même. Les parti-pris du cinéaste c'est pas toujours ça. Que Bronson se raconte pourquoi pas. Lorsqu'il est face caméra plongé dans une obscurité qui l'entoure, OK. Mais lorsqu'il est sur scène devant un public dont on voit la présence mais où l'on ne distingue pas les visages, c'est pas mal mais trop montré. Ça saoule vite. Ce côté one-man show est trop présent tout du long. Pas inintéressant mais mal dosé. La musique qui parcours ce métrage, pas mal du tout notamment celle qu'on entend durant le générique : Glass Candy avec Digital Versicolor.