S'il suffit de ne pas se maquiller (ou plutôt d'opter pour un maquillage "j'ai l'air de ne pas avoir dormi depuis trois semaines"), d'avoir le corps abîmé, de prendre quelques kilos et de geindre pendant des heures pour avoir un prix d'interprétation, alors j'en mérite un autant que ceux que l'on prédit à Jennifer "t'as jamais fait mieux que Rachel" Anniston !
Par contre, s'il faut savoir choisir ses scénar' et jouer dans des films indé qui ressemblent à autre chose qu'un mélo banal tirant sur tous les bouts de la corde du pathos et servant à son actrice un écrin platement académique visant à séduire l'Académie, alors elle repassera, et vous avec !
Mon z'ami, je te déconseille ce film qui, à l'image de son titre, est indigeste !
Créée
le 19 déc. 2015
Critique lue 242 fois
D'autres avis sur Cake
Le générique de fin est impitoyable quand il confirme notre (énorme) doute: la toute mimi Jenni a co-produit l'affaire. Nous sommes bien en présence d'un film à performance. Parce qu'elle s'ennuyait,...
Par
le 27 août 2015
30 j'aime
11
Il est vrai que je partais, comme beaucoup, avec un a priori positif car je suis amoureuse de Jennifer Aniston. Inutile de le nier, c’est plus fort que moi, depuis Rachel, elle provoque en moi une...
le 15 avr. 2015
18 j'aime
4
Voilà bien longtemps que je n'ai pas écrit de critique et ce film m'a donné envie d'en faire une. En effet il est original dans sa manière de traiter deux thèmes difficiles : le deuil et la...
Par
le 16 avr. 2015
9 j'aime
2
Du même critique
La Rochelle, 26 juin. Jour de mon anniversaire et de l'avant-première de Au revoir là-haut en présence d'Albert Dupontel. Lorsqu'il entre dans la salle à la fin de la projection, le public...
Par
le 27 juin 2017
53 j'aime
4
Je n'accorde habituellement que très peu de crédit au vieux débat clivant qui oppose bêtement cinéma populaire et cinéma d'auteur (comme si les deux étaient deux genres définitivement distincts et...
Par
le 27 mars 2018
48 j'aime
19
Voilà un long métrage qui, en apparence, accumule les défauts : une erreur monumentale dans le choix de la date dès le carton d'ouverture (l'action se situe dans un Paris post-apocalyptique...
Par
le 24 nov. 2016
43 j'aime
