Après la Guerre Froide, Captain s'attaque à la guerre de Sécession. Pour un homme hors du temps, il

« Il y a eu les X-men de Singer, le Batman de Nolan, le Watchmen de Snyder et Les Vengeurs de Whedon. Nous pouvons désormais ajouter comme référence du genre le Captain America des frères Russo… ». Non promis, je ne vous refais pas mon laius sur Captain America 2, vous savez à quel point je le porte en estime. Meilleur film du MCU, meilleur film de super-héros, meilleur film de 2014 auto-proclamé sur ce site, et vainqueur d’un Agence Award. Pourquoi? Parce qu’il a d’abord été conçu comme un film d’espionnage et un film politique, avant d’incorporer la licence Marvel de Captain America à la toute fin, le tout sous l’œil bienveillant de la fratrie Russo.


L’impatience était donc grande pour la suite de la saga qui s’imposait déjà comme le meilleur dyptique du MCU. Malheureusement, 2015 est passé par là, avec un Avengers 2 décevant et un Ant-Man logiquement limité. Avec l’approche d’un Batman V Superman, et un premier trailer vraiment peu rassurant autour de la bromance Rogers/Bucky, le début de la phase 3 partait déjà avec du plomb dans l’aile. Pourtant, Kevin Feige eu la bonne idée de vouloir adapter l’arc scénaristique majeur, peut-être même le plus important, des années 2000 dans l’univers Marvel sur papier, à savoir Civil War.


Si le projet peut sembler bancal, une intrigue aussi importante ayant pu/dû être adapté au moins sur un film d’Avengers, au mieux sur toute une phase entière, l’idée de poursuivre l’héritage politique de Captain America: The Winter Soldier en allant encore plus loin dans une réalité qui y fait de plus en plus écho (rien qu’à voir SPECTRE qui faisait froid dans le dos…) est plutôt exceptionnel et inédit dans son genre sur grand écran. Le contrôle par le gouvernement, la création de plusieurs sous-équipes de superhéros, mais surtout, le recensement de tous les surhumains (qui sous-entend dévoilement de leur identité civile). Si le dernier pan semblait impossible à adapter dans le MCU actuel, le reste semble donner l’eau à la bouche à la vue des évènements d’Avengers: Age of Ultron. Les frères Russo ont-il réussi à relever le pari une seconde fois consécutive, avant de prendre leur envol dans Avengers: Infinity War?


Captain America (Chris Evans) est maintenant à la tête des New Avengers, composé de Falcon (Anthony Mackie), War Machine (Don Cheadle), Scarlett Witch (Elizabeth Olsen), Black Widow (Scarlett Johansson) et Vision (Paul Bettany). En mission de routine en Afrique pour déjouer un attentat de l’HYDRA coordonné par un vieil ennemi de Steve Rogers, tout dégénère et les super-héros se voient responsables de la mort de plusieurs civils présents sur les lieux. La communauté internationale commence à avoir peur suite à la multiplication des victimes depuis la création des Avengers, et sous l’égide de l’ONU et du général retraité Ross (William Hurt), impose aux super-héros de signer les Accords de Sokovie. Les héros devront maintenant se soumettre à l’autorité de l’ONU et n’intervenir que sur ordre direct du Général Ross. Rapidement, les sauveurs de New York divergent sur la position à prendre et deux clans se forment, les loyalistes derrière Tony Stark et les hors-la-loi derrière Captain America. Bientôt, un vieil ami de l’Homme hors-du-temps refait surface.


Captain America: Civil War est un meilleur Avengers 2 qu’Avengers: Age of Ultron. Pire, Captain America: Civil War est un meilleur Batman V Superman que Dawn of Justice. Oh mon dieu, je l’ai dit, j’ai sorti un gros mot! Oui, parce que vous allez entendre des gens dire: « c’est deux films différents, faut pas les comparer!« . Disney a clairement laissé entendre qu’ils avaient fait Civil War parce que la Warner sortait BvS. Les frères Russo ont également pris la tangente en s’écartant de la réflexion politique, pour se placer sur le terrain de la réflexion plus psychologique et philosophique. Le terrain qu’aurait dû occuper BvS. Donc si, clairement, n’écoutez pas les autres, vous avez clairement le droit de comparer les deux. Et je me l’accorde, ce droit.


Par ailleurs, une pique doit nécessairement être adressée à Disney/Marvel, pour une fois. Kevin Feige aura donc chamboulé ses plans pour contrer DC, en copiant quelque peu l’idée d’une confrontation. Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Rappelez-vous, Joss Whedon avait rappelé au dernier moment Quicksilver pour son Avengers 2, pour contrer le Quicksilver magique de X-Men : Days of Future Past avec l’aide d’un vide juridique. Pour au final un traitement catastrophique du personnage. On peut aisément comprendre que l’entreprise en position dominante sur le marché pique les bonnes idées aux concurrentes, mais que cela soit aussi gros… Heureusement, cette fois, Marvel surclasse DC sur son idée, écartant temporairement les critiques. Nul ne doute que beaucoup suivront de très près les développements des projets Justice League part 1 et 2 ET Avengers : Infinity War part 1 et 2…


Maintenant que cela est dit, la critique peut débuter. Comme dans une série, nous retrouvons pour un nouvel épisode les deux héros les plus populaires du MCU, Captain America et Iron Man. Et quand l’idée de dire que le film aurait très bien pu être un Avengers est évoquée, c’est tout simplement que pour la première fois, dans un film solo, Marvel respecte et suit enfin ses revendications d’univers partagé : les actions d’un héros en solo ont enfin des répercussions sur la timeline solo d’un autre héros et les deux peuvent donc interagir dans un film hors Avengers. Le premier pas timide était effectué par Ant-Man, Marvel transforme donc son essai avec Captain America 3 et assume complètement. C’est gratifiant, récompensant même pour le spectateur qui suit assidument tous les films.


Mais il y a un revers de la médaille, malheureusement : cela banalise quelque peu les évènements contés dans le film malgré leur importance. C’est avec moins d’excitation que l’on retrouve nos deux larrons (mais peut-être avec plus de bienveillance et d’attachement), puisque nous les avons déjà vu un an plus tôt au cinéma. Il y a un donc un pari à tenir, dépasser la simple envie de les retrouver, proposer autre chose. Et le film y arrive, majoritairement, par sa tournure psychologique et dramatique et par l’ajout de nouveaux héros à l’équipe aux équipes d’Avengers qui sont les gros points forts du film (avec l’innocence et la maladresse de Spiderman, beaucoup plus présent que l’on pouvait anticiper, la classe et la majestuosité de Black Panther et la cool-attitude d’ Ant-Man). Leur intégration respective est d’ailleurs très juste et colle parfaitement à l’esprit de chacun d’eux. Vivement la suite de la phase 3 pour découvrir cette ambiance nouvelle et ses nouveaux héros dans leur environnement !


Les Frères Russo ont, au grand dam de votre rédacteur, laissé un peu de côté l’intrigue politique pourtant essentiel au matériel d’origine. Cela coûte quelques points au film, pour être complètement franc. Pourtant, tout débute pour le mieux avec presque une heure d’exposition sur la politique et le point de vue de chaque personnage. Les réalisateurs sont de vrais chefs d’orchestre en ne le laissant pas un seul instant paraitre au grand public rapidement ennuyé sans beaucoup d’action. Chacun sera donc ravi de ce début de film, qu’on aime se triturer la tête ou simplement voir ses héros se fritter verbalement et parfois violemment. Il ne se passe pas beaucoup de vraies actions, mais le spectateur de toute obédience sera rassasié. Le génie des Russo se trouve aussi dans leur envie d’explorer autre chose. Et c’est en cela que le film va commencer par empiéter sur les plates-bandes de la Distinguée Concurrence. Le thriller politique, la fratrie l’a magnifié et vulgarisé dans Captain America : The Winter Soldier. Cette fois-ci, elle veut tenter le drame, le psychologique. Et avec cette intrigue en entonnoir, qui débute sur un conflit d’idéologie pour finir sur un conflit psychologique et très personnel entre Cap’ et Tony Stark, les frères Russo réussissent sur les deux tableaux, avec une écriture fine, sans perdre le spectateur malgré le nombre d’informations colossal qui lui parvient. Très loin donc de l’overdose et de la précipitation de Zack Snyder dans son film estampillé DCEU.


Si le principal défaut de BvS était donc l’écriture, c’est le point fort de Civil War. Ici, tous les super-héros ont une raison de s’engager dans les conflits et elle est alimentée pendant tout le film: Iron Man car il est rongé par la culpabilité (illustrant une évolution psychologique de Stark tout au long des deux phases Marvel) ; Black Panther pour des raisons familiales ; Spiderman par admiration ; Captain America car il a vu au plus près comment une organisation de gestion pouvait se corrompre (le SHIELD) ; Ant-Man sur les conseils de son maitre ; Vision par son intelligence et claivoyance ; Black Widow par idéologie ; Hawkeye par fidélité ; Scarlett Witch par rejet ; Falcon par amitié ; et le Winter Soldier, comme le laisser présumer le trailer, par contrainte, étant au cœur de l’intrigue… On est bien loin d’un Batman qui s’obstine sans raison claire contre un Superman subissant un scénario trop lourd pour ses épaules. Et par ce mélange de politique et de psychologie, la confrontation peut durer : maintes fois les héros auront l’occasion de s’entendre en discutant sereinement. Mais à chaque fois un grain vient se glisser dans l’engrenage de la réconciliation et envenimer leur relation. Sans que le spectateur puisse s’y attendre. Et tout est logique de bout en bout, clair, précis, relié. Le conflit est réel, il a un certain écho dans nos consciences, il est cohérent. Et comme on a pu s’attacher aux personnages au préalable (et pas en ayant voulu caser tout un nouvel univers en 2h30 merci DC), voir nos héros se battre ainsi a quelque chose d’émouvant, de déchirant.


Même le twist final, point de non-retour entre les deux héros, semble proche d’une idée très mal exploitée dans Batman V Superman. Parce que l’écriture est plus fine, parce que le film l’a patiemment préparé, il ne semble plus cliché, il coule de source. Oui il existe certains trous inexplicables dans l’intrigue, ce qui est plutôt logique dans un film de cette ambition. Mais jamais le spectateur ne se demandera un pourquoi trop important, ou rira d’une situation inexplicable, le tout faisant sortir du film.


Finalement, outre son manque d’approfondissement, il ne manquera au film dans son approche politique un peu trop réduite qu’une scène métaphorique, emblématique. Les frères Russo ont agrémenté leur film de plans emblématiques oui, faisant s’attarder les caméras dans ces situations (notamment le clin d’œil à la couverture du comic éponyme). Oui, ils nous proposent certaines envolées dans les confrontations d’idées. Mais il manque une petite scène pour magnifier le conflit, comme avait su le faire Joss Whedon avec sa désormais célèbre scène des bucherons dans Avengers : Age of Ultron. Ce n’est pas grand-chose, mais cela aurait permis au film de franchir un palier dans ses ambitions de Civil War sur un médium comme le cinéma.


Dans tous les cas, le film fait passer un cap (ahah !) au MCU avec un ton beaucoup plus sérieux. Les actes des super-héros, pourtant dantesque à New York, à Washington, à Londres, en Afrique du Sud, en Sokovie etc., ont enfin une portée. Une portée aussi bien externe qu’interne. Externe par le biais des Accords de Sokovie, et par le fait que le film se déplace sur tous les continents pour montrer les conséquences mondiales. Interne, parce que les héros souffrent vraiment, et les réalisateurs nous le montrent avec beaucoup de retenue et de dignité, permettant aux spectateurs de ne pas rester insensible. Tony Stark montre beaucoup de tristesse et de destruction intérieure, lui coûtant par ailleurs beaucoup dans sa vie personnelle, et Steve Rogers est enfin touché personnellement, et plus seulement dans ses valeurs, mais dans sa vie privée pourtant limitée, le faisant parfois vaciller de sa ligne de conduite habituelle empreinte de ses valeurs. Une scène chacun leur renvoie pas mal de chose dans la figure (une confrontation avec un tiers pour Tony, la perte d’un être cher pour Steve), et Chris Evans et Robert Downey Jr magnifient leur mal-être dans leur jeu très juste et prouvent encore qu’ils sont les acteurs parfaits pour leur rôle respectif.


Par ailleurs, le film reste majoritairement centré sur Captain America, même si le spectre d’Avengers plane non loin (par la présence envahissante de RDJ). Il permet enfin de clore l’arc sur le Winter Soldier, et de faire avancer doucement la vie personnelle de Steve Rogers. Oui Steve prend enfin des initiatives amoureuses, il va neiger ! Il apprend aussi la vraie identité de l’Agent 13. Il était d’ailleurs vraiment le seul à ne pas avoir fait le lien plus tôt ! Il est protecteur avec chacun de ses collègues, dans un esprit très papa-ours. Enfin, le film est une sorte d’aboutissement personnel pour lui, la fin d’un développement sur un homme hors de son époque qui doit s’adapter, contraint et forcé par les évènements et ses relations. Ses valeurs sont mises à rude épreuve, il doit s’y accrocher, mais comme le dirait si bien Batman: « combien d’hommes bons le sont restés?« .


Comme dans Captain America 2, les frères Russo ont clairement mis le pied sur le frein en ce qui concerne l’humour. Cela devenait urgent après un Avengers 2 au ras des pâquerettes ! Bien que la patte Disney soit toujours présente, l’humour passe cette fois-ci par deux catalyseurs en mode comic relief : Spiderman et Ant-Man. Beaucoup plus rafraichissant puisque moins fréquent, il permet aussi de dégonfler une atmosphère parfois très lourde. Bienvenu donc. Dans la veine de la blague méta pour les fans de Community tout au début du film, qui fait écho au caméo hilarant de Abed dans Captain America : The Winter Soldier. (oui, parce que les Russo étaient réalisateurs réguliers de la série. #Sixseasonsandamovie)


L’action est par ailleurs très bien filmée, et les chorégraphies toujours plus réalistes. Là encore, le film relève le niveau après un Avengers 2 des plus limités sur ce point. Une scène jouissive résume finalement parfaitement la réussite du film sur ce point : la scène de l’aéroport. Oh que oui je l’avais critiqué dans les trailers. Encore une fois, j’aurais dû me taire ! Peut être LA meilleure scène d’action des films de super-héros de tous les temps. Chorégraphies parfaites, spectaculaire, des multiples rebondissements inattendus, chaque héros a sa place et son importance, de l’humour bien dosé, des clins d’œil méta à l’univers Disney (notamment dans sa résolution, merci Spidey), du drame, et de l’émotion pour ponctuer le tout. Une vraie claque visuelle et un modèle de réalisation.


Et que serait un film du MCU sans un mauvais méchant ? Et oui, Civil War confirme finalement la malédiction des Marvel/Disney : impossible de mettre en scène un méchant digne de ce nom hormis Crâne Rouge et le génial Loki. Les uns sont peu charismatiques (Malekith), d’autres bouche-trous (Ultron, Ronan), quand d’autres ne sont pas vraiment méchants (Alexander Pierce, le Winter Soldier) voire certains carrément mauvais (le Mandarin, Killian). Et tout cela rien que dans la phase 2 ! Alors attention, le Baron Zémo interprété par Daniel Brühl est loin d’être mauvais. Mais il est carrément inutile et très loin du personnage des comics. Mais on peut comprendre que Disney ait eu peur d’aller au bout et de ne pas mettre de vilain dans un film de super-héros, même si c’était l’occasion rêvée de le faire, le grand public n’est pas prêt pour cela. Au moins auront-ils résisté à la tentation de faire de Tony Stark un méchant, l’honneur est sauf. Daniel Brühl est un immense acteur, il fait le travail, mais sans un rôle à son niveau, difficile d’en dire beaucoup de bien…


Contrairement à Batman V Superman, et comme c’est à son avantage, il faut bien l’évoquer, les musiques de Civil War sont vraiment accessoires malheureusement. Elles servent l’action, mais sans la magnifier (hormis le thème du Winter Soldier reprise de Captain America 2). Il est par ailleurs dommage de ne pas avoir exploité l’idée des trailers avec les chœurs répétant en boucle : « United we stand, divided we fall »… Musique accessoire, à deux exeptions près : l’écran titre a e bon goût de récupérer le thème d’Avengers en le faisant dérailler. Simple, mais efficace dans le message que veut faire passer les réalisateurs ; et le thème de Black Panther, qui fait écho à celui de Wonder Woman, est très bestiale et exotique, rappelant génialement ses origines ancestrales.


Malgré le statu quo apparent et décevant en fin de film (dû à une certaine et surprenante précipitation finale), les cartes sont pourtant encore une nouvelle fois redistribuées par un épisode de Captain America, après l’effondrement du SHIELD dans l’épisode 2. La phase 3 sera d’autant plus intéressante pour savoir comment les héros se débrouilleront avec cette situation. On pourra seulement regretter que l’ambiance Disney freine les ambitions des Russos en les empêchant de donner vraiment un impact à certaines actions (je parle bien sûr d’un personnage qui a pourtant pris très cher dans la bande-annonce).


Si le film ne s’impose pas comme un classique et reste loin de la claque Captain America 2, son style très académique « à la Marvel » et les ajouts de bons goûts des excellents frères Russo (réflexions, émotions, réalisme…) en font un très bon film du genre. Peut-être le film de la maturité pour le MCU, que l’on disait un peu enfantin auparavant. Avec lui, la phase 3 débute donc mieux que sa grande sœur (un Iron Man 3 médiocre). En attendant, aucun doute n’est possible : la triologie Captain America est la meilleure de la saga Avengers.

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le 12 mai 2016

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