Blanc comme neige.
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Si le film bénéficie d'une belle réalisation avec ses plans enneigés, il n'en est pas de même pour sa construction qui multiplie des allers-retours incessants entre le passé et le présent avec une date anecdotique qui n'apparaît que quelques secondes à l'écran. Les personnages sont figés volontairement dans le temps pour la dramaturgie : ils ne vieillissent pas, pas de changement physique ou vestimentaire ce qui n' aide pas à la compréhension de l'histoire. Le dénouement final entraîne ce thriller dans une plus vaste enquête dont on aura jamais vraiment la conclusion. Loin d’être déplaisant, ce film aurait pu, aurait du être bien meilleur.
Créée
le 10 janv. 2017
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