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Critique de Carmina ! par buz
Génial équilibre entre drame et comédie, on sent la touche espagnole à la Almodovar. A ne pas rater si vous avez l'occasion de le voir.
Lire la critiqueil y a 7 ans
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Carmina y amen est le second film de Paco Leon. C'est aussi la suite du premier. Néanmoins il peut être apprécié sans avoir vu le premier. La prouesse du premier : faire un film pour 40 000 euros dans un pays rongé par la crise où le téléchargement illégal détruit les cinémas. D'autant plus que ce film était diffusé simultanément en salle et en ligne.
Dans ce second volet, l'histoire continue et la comédie dramatique sert de critique de la société : drogue, sexe, argent, violence et enterrements. Paco Leon explique que tout est compliqué. Il prend son temps, à travers des situations très diverses, mais pas toujours très bien reliées, pour montrer des personnages réalistes dans un univers surréaliste (mais proche de la situation de l'Espagne ).
C'est toujours la mère et la sœur de Paco Leon qui sont à l'honneur dans ce film, qui met Carmina, l'héroïne, dans une situation complexe ; son mari Antonio vient de mourir dans le salon. Carmina convainc sa fille de garder sous silence la mort d’Antonio afin de toucher la prime exceptionnelle que le défunt doit percevoir dans deux jours. S'en suivent alors des péripéties, jamais vraiment drôles, jamais vraiment tristes, parfois poétiques. Le film aurait peut être mérité un scénario plus poussé dans le drame ou la comédie (ça n'est jamais vraiment assez) ainsi qu'un parti pris plus grand sur la mise en scène. Mais on ressort de la projection sans être indifférent.
il y a 6 ans
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Génial équilibre entre drame et comédie, on sent la touche espagnole à la Almodovar. A ne pas rater si vous avez l'occasion de le voir.
Lire la critiqueil y a 7 ans
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