Malgré quelques éclats de rire, les retournements grossiers dans la psychologie des personnages passent mal. On y assiste le sourcil levé en se demandant quel sera le prochain virage à 180° que le scénario aura omis de préparer pour le rendre crédible. Entre deux envolées hystériques, on se désolera également de quelques instants de flottement où le film semble peu assuré sur sa destination et ses enjeux. La réalisation de Polanski se fait pour le moins discrète, on en oublierait presque que nous regardons un film.
Reste le plaisir un peu Camp d'assister aux cabotinages des acteurs entre remarques bitchy, crises hystériques et même gag potache.
Lazbean
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le 6 déc. 2011

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Lazbean

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