Critique de Cent mille dollars au soleil par Selenie
Si on apprécie le Noir et Blanc, il reste un peu fade, et donc il atténue forcément la force des images en ce qui concerne les paysages marocains. Pour la musique, on a connu Delerue un peu plus inspiré. Sans être complètement râté ces deux paramètres restent plutôt décevants. Heureusement...
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Trop de camion tue le camion
Film style road movie , mis en relief par les apparitions charismatiques de Belmondo et Ventura. Des plans magnifiques du paysage marocain (?), certains plans urbains sont aussi incroyable comme la fin dans la cour du salon de the /bordel où les deux camarades de longue date se flanquent sur la gueule.
Chaque dialogue entre les deux est une perle d'ailleurs.
Mais film un peu long, surtout la...
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Beau soleil en noir et blanc
Sorti dans la foulée de ses trois chefs d'oeuvre (Le Président, Un singe en hiver, Mélodie en sous-sol), le film, western-comédie pseudo dramatique , présente un scenario moins puissant, mais reste efficace, par la présence de trois monstres du cinéma français, Belmondo, Ventura et Blier, et bien sûr par les dialogues d'Audiard, parfaitement adaptés à la gouaille de Blier. Un très bon moment....
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Critique de Cent mille dollars au soleil par pasteque68
C'est toujours bon de se retrouver à cette époque! Le cadrage parfait, la mise en scène, les acteurs tout est génial.Excellent moment!Il ne se passe pas grand chose mais on suit ça avec intéret.
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Critique de Cent mille dollars au soleil par PepeLucho
Notes sur le film : Film métaphorique sur la géopolitique en Afrique, où l'hypocrisie colonialiste est pourfendue pour faire apparaître les véritables motivations - pécuniaires - à l'oeuvre sur le continent. Édifiant et féroce.
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C'est con, les canards, mais ça fait cossu.
Dans ce genre de film, on se fout pas mal du scénario. Tout ce qu'on veux voir c'est Belmondo, Blier et Lino Ventura, qui déblatèrent les dialogues d'Audiard avec ce phrasé si typique du cinéma français des années 60. Et pour ça, on peut dire qu'on est servi.
Le reste, c'est le Salaire de la Peur, sans nitro, ni suspens, dans le désert Sahara. Ça casse pas trois brique à un canard, mais on...
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Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent
Réunissant le haut du panier du casting à la française de l'époque, un Lino Ventura bien dans le ton, un Jean-Paul Belmondo déjà bien bébellisé et l’apparition de quelques seconds rôles de premier choix, avec entre autre le toujours bienvenu Bernard Blier, et même un acteur américain pour labellisé le tout, ce film signé par Henri Verneuil avec Michel Audiard aux dialogues, possède tous les...
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Blier,ventura,Belmondo.
Cent mille dollars fait parti des meilleurs films dialogués par Audiard. Les répliques sont excellentes,elles le sont d'autant plus dit par des acteurs tels que Blier,ventura,Belmondo. Cette course poursuite dans le désert est le reflet d'une autre époque,celle du colonialisme. Si le film est bon Verneuil n’empêche pas de se répéter,ce qui embourbe son action. Enfin c'est tout de même avec...
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Un Grand casting
C'est l'essence même du "vrai" cinéma français. Je ne reparlerais pas des acteurs, de la réal, comme du scénario... Ce fut une époque magique, où une poignée de gens (en fait ils étaient plutôt nombreux contrairement à maintenant) savaient faire encore du cinéma. Ces moments, devant un petit "100.000 dollars au soleil", sont simplement inoubliables, et quand le souvenir porte à ce point, c'est...
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Critique de Cent mille dollars au soleil par Le Blog Du Cinéma
Faire reluire une certaine tradition du cinéma français avec des techniques et des recettes inspirées du cousin d’Amérique : cela ressemble à une tendance actuelle du cinéma de genre national qui se cherche encore péniblement, et pourtant cela ne date pas d’hier. Le précurseur de ces tentatives de métissage pourrait bien être Henri Verneuil, dont la prolifique carrière comble aujourd’hui encore...
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