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Home sweet home
Ce film sorti sur Netflix récemment, réalisé par David et Alex Pastor, est mauvais, tout simplement. Comme je le précise souvent, je ne suis pas vraiment fan des films Netflix que je trouve, pour la...
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le 8 avr. 2020
7 j'aime
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Le foyer du bonheur
Un ancien publicitaire réputé, se retrouve au chômage. Coutant trop cher et étant surqualifié. Aucune entreprise n’accepte de l’embaucher. Il se retrouve donc obligé, lui et sa famille, de quitter ce magnifique appartement avec vue sur tout Barcelone. Pour un petit appartement miteux avec une vue sur un panneau publicitaire. Il décide donc d’espionner les nouveaux propriétaires de l’appartement. Le cauchemar peut commencer.
Javier, ce père de famille matérialiste avec un besoin pathologique de montrer sa réussite au monde. Se retrouve au fond du gouffre une fois tous ces biens matériels perdus, il n’a donc plus rien à perdre. Formaté par ses propres pubs à une vie parfaite, il est alors prêt à tout pour l’acquérir. Il devient de plus en plus manipulateur et machiavélique. Sans aucune peine pour sa femme, ni pour Tomás et sa famille.
Malgré des erreurs flagrantes dans le scénario qui rend ce film peu probable en réalité.
SPOILER
Tout d’abord, cette clef qui servira à rentrer dans l’appartement tout le long du film, à mon sens ne tient pas debout. Pourquoi le propriétaire n'a pas essayé de le contacter pour récupérer un des doubles des clefs manquant au moment de rendre l’appartement ?
Puis, quand Javier pièges Tomás avec l’appel pour venir le voir au moment de l’accident. Javier, trouve une excuse pour prendre le téléphone de Tomás afin de s’auto-envoyer un mail et ensuite le montrer à la femme de Tomás. Pour se défendre, Tomás aurait tout simplement pu aller dans la liste des appels de son téléphone et donc montrer à sa femme qu’il a d’abord reçus l’appel de Javier avant l’envoi du mail.
Chez moi reste un bon film distribué par Netflix et réalisé par David et Àlex Pastor. Intéressant à voir pour toutes les différentes faces de la psychologie mise en avant et pour sa fin perturbante.
6
Écrit par
Créée
le 22 avr. 2020
Critique lue 353 fois
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