Pfff que dire ... un homme aux pratiques "déviantes" (je reviendrai là dessus plus tard) initie une jeune ingénue aux joies du martinet.
Quitte à partir sur un tel pitch, allez-y jusqu'au bout, on veut voir du vrai SM, des pinces à tétons et des spéculums à foison mais non, le paroxysme des déviances de M. Grey se limite à 6 coups de ceinturon sur le derrière rebondi de Mlle Steele.


C'est là que l'adjectif cul cul la praline prend tout son sens. On fait du SM mais sans se faire mal hein, bienvenue à la cour de récré ! on dirait que moi je suis le dominateur et toi, eh ben tu serais la soumise, d'accord hein dis ? Le spectateur pudibond sera choqué lorsque le contrat stipule des "pénétrations anales du poing" Oh mon dieu que c'est terriblement choquant ... parlez en aux habitués de la Fistinière !


Bref, un film qui fait passer l'ensemble de la gente masculine (ou au moins moi) pour des gros pervers déviant et dégoulinant de pratiques dégueulasses ... mais bon promis, je vais m'acheter une cravache rose en plume de pingouin tout doux, comme ça moi aussi je ferai du SM mais tout mignon !

LordJon
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le 1 juin 2015

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LordJon

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