Finalement, l'oeuvre ne donne pas à voir plus que le strict minimum qui était promis dans l'encart, sauf ces chants populaires qui parsèment tout le film et en prennent un bon espace. Pas désagréable donc.
Même si je vois mal comment la mort peut être une "solution" à une situation dont pour ma part, en grand profane de cette période de l'Histoire, je n'ai saisi aucune des subtilités. Tout juste ai-je compris qu'on ramenait le pianiste chez lui (en Pologne) de force, parce qu'il fréquentait le milieu de sa bien aimée, mais j'ai pas bien compris, avec tous leurs moyens, ce qui empêchait les deux tourtereaux à s'enfuir définitivement, sauf peut-être le désir pour l'un de rester en Pologne... divergence de désirs, qui mènera à la mort, parce que l'amuuur est plus fort que tout. Toujours est-il que les diverses ellipses n'aident pas à s'attacher aux personnages.
On retiendra donc surtout le côté artistique, et le coup d’œil furtif en Europe de l'Est, riche en culture.