Voilà du bon, du gros, du lourd, du somptueux gâchis. Après une première scène qui nous met l’eau à la bouche, déboule le personnage de Constantine, mystérieux, qui étonne par sa noirceur et son manque d’humanité. Voilà c’est tout, pour le reste l’histoire se perd très vite dans des mièvreries mystico-religieuses de bas étages et, au fil des minutes, le personnage se désagrège tellement qu’il finit par faire le même effet qu’une dragée Fuca. Seules quelques scènes nous réveillent ponctuellement souvent grâce à des effets spéciaux assez réussis.