Bon, ça commence plutôt bien, mais ça fini par devenir labyrinthique et incompréhensible. Outre le fait que le tout reste pathétiquement hollywoodien, avec des accès à la paranoïa et au complot, au terrorisme et à l'industrie pharmaceutique. Mais le "happy end", forcément, rétablit rapidement les cartes: le gouvernement américain ferait tout pour sauver le monde entier d'un virus qui, forcément, provient de l'Asie. Le journaliste d'investigation est ridiculisé, tandis que les huiles du gouvernement se sacrifient pour l'Humanité. Le scénario est bourré de clichés; et, au final, ce ne sera une surprise pour personne. Dommage, car l'ambiance y est.