Match des critiques les meilleurs avis Conte d'été
VS
Comment préparer Lena
Lundi 17 juillet, Gaspard (Melvil Poupaud) débarque de bateau à Dinard avec une guitare dans son étui. Jeune, grand, beau, décontracté, en T-shirt marin, ventre incroyablement plat, tignasse brune bouclée, Gaspard est en vacances. Mais c’est un peu plus compliqué, car il attend quelqu’un avant de commencer un travail. Comme il fait très beau (magnifique luminosité), il déambule tranquillement après s’être installé dans une villa dont il avait la clé. Solitaire, il marche...
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33
8
L'amour sans le faire
J'emprunte le titre du très beau livre de Serge Joncour pour ma critique de ce film d'Éric Rohmer - le premier que je vois - et qui me semble pertinent.
Encore que d'amour, est - il vraiment question dans ce film de 1996 (dont le grain de l'image et le style m'évoquaient davantage les années 80 d'ailleurs) ? Entre Gaspard et ses trois drôles de dames, on parle. On parle du désir d'être avec quelqu'un, de l'obsession du couple officiel, du choix du partenaire. A aucun moment, je...
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Critiques : avis d'internautes (46)
Conte d'été
Tri :
recommandées
positives
négatives
plus récentes
j'aime le vent, j'aime la houle
La-la-la laaa laa-laa laa-laaaa la laaa lalalalalalaaaa... Toujours dans un coin de ma tête oui, les jolies notes de l'été, comme une promesse qu'il fera encore tiède, par la fenêtre quand il fait gris je les entends encore, oh ce film je ne m'en débarrasserai jamais. Le revoir me donne une envie pas coutumière: celle de poser quelques mots sur cette chose-là indéfinissable, cette chose qui me...
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Gaspard, le musicien et ses trois amoureuses
Dix années ont passé depuis le Rayon vert, Rohmer revient avec un film sur l’été, sa saison préférée, lui qui mieux que nul autre sait mettre en exergue la magnifique lumière, la légèreté voire la frivolité des mois chauds.
Pourtant, lorsque sort sur les écrans ce troisième des contes des quatre saisons, la réputation du cinéaste est légèrement entachée par l’accueil assez peu...
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Un Rohmer musical !
Non, je plaisante, rassurez-vous.
C'est drôle, un musicien qui chante si faux. Et alors le pauvre garçon n'en rate pas une : en voiture avec la jolie première, en montrant l'air à l'à peine moins jolie seconde, autant de démonstrations de capacité en intonation absolument désastreuses.
Je ne suis pas expert, loin de là, dans le cinéma de Rohmer, mais on m'a souvent dit qu'il avait un rapport...
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Critique de Conte d'été par Selenie
Comme souvent le cinéaste est un maître pour en explorer les arcanes et on salue, comme souvent, le scénario plein d'acuité sur ses sujets de prédilection. Malheureusement, et comme trop souvent dans le dogme de la Nouvelle Vague, le cinéaste se perd en galvaudant la question du réalisme. Les dialogues sont si écrits...
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Critique de Conte d'été par Tanguydbd
Quand Conte d’Eté sort sur les écrans en 1996, Rohmer a 76 ans et il est pourtant impossible de le deviner, pour ceux qui ne le connaitraient pas, à la vision du film. A quoi cela tient pour qu’un film soit touché par cette grâce furtive et mélancolique (différente d’une grâce en tant que charme ou élégance) plutôt qu’un autre? Ce Conte d’Eté suffit à faire chavirer le coeur de toute personne...
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