Plus encore que la mise en scène et la direction d'acteur (avec entre autres Gene Hackman au sommet et Harrison Ford qui ne m'a jamais autant troublé), c'est le travail du son et du montage qui est saisissant dans ce film de Coppola.
Ces techniques jouent un rôle crucial dans le déroulement de l'intrigue et de sa montée en puissance.
Je ne l'avais jamais vu et je n'ai pas cessé de le prendre comme un prequel d'Ennemi d'Etat de Tony Scott.
Dans les faits, ce serait plutôt le film de Scott qui en forme une suite éventuelle.
Mais, les analogies dans les thématiques et la caractérisation de Harry Caul sont flagrantes.