L'horreur est humaine.
Creepshow premier du nom était excellent, mais comme toutes les suites, ce ne sont que des sous-produits. N'espérez pas de fil conducteur, car ici il est très mince. Présenté sous forme de film...
le 4 mai 2011
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On retrouve le narrateur et le jeune lecteur du fanzine en versions animées pour lier les
de ce deuxième opus chapeauté par George A. Romero, d’après des nouvelles de Stephen King et dont il a confié la réalisation à un technicien quelconque, tâcheron de l’horreur audiovisuelle. L’humour est ici remisé pour laisser place à l’étrange, au bizarre et au sang.
Un indien géant de bois s’anime pour venger l’épicier et sa femme qui lui tenaient compagnie depuis si longtemps : flèches dynamiques, tomahawk expressionniste et scalp sanglant contre quelques breloques. Quatre adolescents s’ébrouent dans un étang à la surface duquel flotte une nappe luisante et menaçante, après le flirt ils ne sortiront pas vivants. Une femme fauche un autostoppeur et prend la fuite, l’occasion d’une balade nocturne et hantée dans les bois.
De plutôt bonne facture, plus angoissants que les courts du premier épisode, les trois films qui composent
mes premiers frissons interdits à l’aube de l’adolescence, sont devenu un pop-corn moment un peu vieillot mais toujours sympathique.
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Créée
le 24 déc. 2015
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