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Eisernes Kreuz.
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Par
le 9 mai 2013
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28
War is a four-letter word.
Une évocation de l'absurdité de la guerre par Peckinpah, ça ne pouvait pas être propre.
Corps souillés, explosions incessantes, morts subites, exactions variées, rien ne nous sera épargné.
Porté par une réalisation nerveuse, des acteurs magnifiques (le rire de James Coburn me hantera longtemps) et une tripotée de scènes d'anthologie (l'hôpital militaire, la rencontre avec les femmes russes), ce film réussit à instaurer un malaise profond qui n'a rien à voir avec le choix rarissime de s'intéresser au sort de soldats de la Wehrmacht.
Un tour de force.
Corps souillés, explosions incessantes, morts subites, exactions variées, rien ne nous sera épargné.
Porté par une réalisation nerveuse, des acteurs magnifiques (le rire de James Coburn me hantera longtemps) et une tripotée de scènes d'anthologie (l'hôpital militaire, la rencontre avec les femmes russes), ce film réussit à instaurer un malaise profond qui n'a rien à voir avec le choix rarissime de s'intéresser au sort de soldats de la Wehrmacht.
Un tour de force.
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le 16 sept. 2010
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