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Le Scarabée d'or !
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Les débuts de Guillermo Del Toro.
Pour son premier film, on reconnait déjà plusieurs éléments qui seront repris plus tard dans ses autres travaux : le vampirisme (Blade 2), le sang, et deux de ses acteurs fétiches qui sont déjà là, à savoir Federico Luppi (avec qui il a tourné trois films), ainsi que le cultissime Ron Perlman.
Le film est très imparfait, mais il est intéressant en soi car il parle indirectement du vampirisme, à savoir cet homme qui se fait en quelque sorte mordre par le Cronos, secret de l'éternité, et qui ne peut plus s'en passer, à tel point qu'il va devenir de plus en plus cadavérique et craindre le soleil. Mais c'est un film d'acteurs, car on se régale de voir Federico Luppi se transformer ainsi et Ron Perlman en faire des tonnes dans le grand méchant de service.
Bon, ça doit se lire, je ne suis pas fou du film, qui souffre aussi d'un rythme un peu trop long (ça aurait pu tenir sur un court-métrage, l'effet aurait pu être plus fort), et d'une mise en scène un peu trop plate.
Mais quand on voit la différence de qualité entre ce film-ci et les autres de Del Toro (dont La labyrinthe de Pan, magnifique), il faut un début à tout.
Le film est très imparfait, mais il est intéressant en soi car il parle indirectement du vampirisme, à savoir cet homme qui se fait en quelque sorte mordre par le Cronos, secret de l'éternité, et qui ne peut plus s'en passer, à tel point qu'il va devenir de plus en plus cadavérique et craindre le soleil. Mais c'est un film d'acteurs, car on se régale de voir Federico Luppi se transformer ainsi et Ron Perlman en faire des tonnes dans le grand méchant de service.
Bon, ça doit se lire, je ne suis pas fou du film, qui souffre aussi d'un rythme un peu trop long (ça aurait pu tenir sur un court-métrage, l'effet aurait pu être plus fort), et d'une mise en scène un peu trop plate.
Mais quand on voit la différence de qualité entre ce film-ci et les autres de Del Toro (dont La labyrinthe de Pan, magnifique), il faut un début à tout.
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le 23 mars 2013
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