Celui qui dit que ce film tourne en rond n'a jamais vu un cube!
La drogue c'est mal, tout le monde le sait, tout le monde, non! Un réalisateur canadien résiste encore et toujours à la désintox.
Oui j'aurai pu la sortir sur un Gilliam, je le regretterai peut être plus tard (ou je la réutiliserai, ne dit on pas qu'il faut recycler?), mais Vincenzo a une petite place dans mon coeur de cinéphix car il a la particularité de faire des films bizarres mais complètement différents à chaque fois, Cypher, Slice, Nothing, même Haunter était bizarre dans un genre pourtant mille fois arpenté. Bref, cube est oppressant, intelligent, gore, mais ce n'est pas du grand spectacle.