
C'est avec ce Castaway on the Moon que je me lance dans la découverte du cinéma coréen, et que dire à part que ça commence très fort.
Sorte de "Robinson Crusoé" pour l'île déserte qui pourtant se trouve être moins perdue que dans le livre, puis un peu de "Seul au Monde" avec deux Wilson pour le prix d'un (L’épouvantail et le pédalo). Ce film est un savant mélange de petits moments de tristesse noyés dans une bonne cuve de bons sentiments, on rit, on pleure comme au pays de Candy.
Deux heures qui passent comme une lettre à la poste, au gré de jolis instants lancés comme une bouteille de vin à la mer, revenants sans cesse, bercés par le déhanchement des vagues.
J'ai passé un agréable moment devant ce film et je ne doute pas que ce sera aussi votre cas, aussi je ne peux que vous conseiller de vous jeter dessus dès que vous le pourrez.
Un film à conseiller aussi bien au nouveaux venus peu ou pas adeptes du cinéma coréen tout comme aux habitués de par son histoire universelle et ses personnages si humains.