Le porc de l’angoisse
Je me suis rendu compte que j’aimais les films de Robert Rodriguez en percevant d’abord vaguement son côté artisanal-surdoué. Une façon de faire qui semble être la transposition exacte de sa...
Par
le 1 avr. 2013
9 j'aime
12
"Le" Mariachi pour un troisième volet.. Un petit quart d'heure plutôt énergisant et on reste bien pour voir l'ensemble, sauf, qu'au bout de ce quart, et bien la corde de la guitare se casse et bien comme il faut. Déjà qu'au début toute les scènes ne manquer pas d'exagération mais on s'y fait, autant rentrer dans le délire mais alors après, Rodriguez continuer de nous souler à coup de chope de bière avec des flasbacks de la perte de l'amour du Mariachi... Et il ne faut pas compter sur les scènes d'actions qui pourrait rattraper cela. Alors que le casting se montre bien imposant, par exemple le personnage de Johnny Depp qui me plaisait bien, puis voilà que pour la deuxième partie du film son personnage part en cacahuète et ne tarde aucunement à toucher le ridicule bien charger. Je souligne que la présence de Enrique Iglesias est sympathique mais il est complètement mis à l'écart. Bref, sortez, buvez une Despé et il était une fois votre meilleur choix.
Créée
le 13 mars 2016
Critique lue 194 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Desperado 2 - Il était une fois au Mexique
Je me suis rendu compte que j’aimais les films de Robert Rodriguez en percevant d’abord vaguement son côté artisanal-surdoué. Une façon de faire qui semble être la transposition exacte de sa...
Par
le 1 avr. 2013
9 j'aime
12
Après un film énergique mais fauché et un film excité et beaucoup moins sympathique, Robert Rodriguez réalisa la dernière partie de sa saga, Once Upon a Time in Mexico, traduit par un magnifiquement...
Par
le 7 juil. 2012
4 j'aime
3
Je n’avais pas vu Desperado 2 depuis sa sortie au cinéma il y a 15 ans. J’en avais gardé un souvenir très flou et mitigé, à cheval entre le délire à la gloire d’Antonio Banderas et, comme d’habitude...
Par
le 30 août 2018
2 j'aime
Du même critique
Mon premier long-métrage de Jean-Pierre Mocky et j'ai passé un moment divin. Le personnage de Bourvil, fils d'une famille aristocrate et catholique, vivant dans un appartement vide, sans argent, tout...
Par
le 24 août 2016
6 j'aime
Chapeau bas, Mr Tarantino ! "Jackie Brown" prend tout son temps, adapté au biorythme de protagonistes bien cassés par la vie (la plus jeune, Mélanie plane en permanence, ce qui revient au même)...
Par
le 11 août 2015
6 j'aime
Alors le titre du film colle carrément, je garderais toujours en mémoire la folie qui s'y dégage, c'est du pur burlesque comme on en voit plus. Du début à la fin c'est du délire non-stop, courses...
Par
le 30 août 2016
5 j'aime
5