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Ces bonnes surprises
C'est un film "bouche-trou", qui a atterri dans mon plan d'attaque pour la fête du cinéma 2008, parce que je n'avais rien trouvé d'autre à cette séance. Ce fut une grande et très bonne...
Par
le 30 oct. 2010
50 j'aime
4
La beauté froide "à la Jean Becker".
Un film qui résume à lui-seul la prise de conscience d'un homme face à l'existence, face à l'essentiel, face à ses choix.
Le temps qui court, le ras-le bol d'un type qui se rend compte que sa vie est pourrie, qu'il est assis sur un matelas de complaisance et de suffisance, qu'il a tout mais qui va tout envoyer balader car pour lui le bonheur n'est pas le fric ni le matériel, mais la liberté de dire "merde", la liberté de crever des abcès en affrontant les problèmes et de suivre SA route. JE RECOMMANDE VIVEMENT D'ALLER VOIR CE FILM !
Albert Dupontel tient ce rôle à merveille. Il me conforte dans l'idée qu'il faut arrêter de rêver sa vie mais bien de vivre dans le présent car le temps court très vite. Le futur ne peut se penser que lorsqu'on sait ce qu'on veut dans le présent. Les choix sont durs, sont douloureux MAIS essentiels pour ne plus rêver ce que l'on voudrait, et enfin vivre EFFECTIVEMENT ce que l'on souhaite.
En fait on ne sait qu'à la fin qu'il est atteint d'un cancer, et que durant tout le film il n'agit qu'en fonction de cette putain de maladie.
La chanson de fin de Serge Reggiani vient asseoir cette idée, avec force, émotion et sincérité.
Le temps qui court, le ras-le bol d'un type qui se rend compte que sa vie est pourrie, qu'il est assis sur un matelas de complaisance et de suffisance, qu'il a tout mais qui va tout envoyer balader car pour lui le bonheur n'est pas le fric ni le matériel, mais la liberté de dire "merde", la liberté de crever des abcès en affrontant les problèmes et de suivre SA route. JE RECOMMANDE VIVEMENT D'ALLER VOIR CE FILM !
Albert Dupontel tient ce rôle à merveille. Il me conforte dans l'idée qu'il faut arrêter de rêver sa vie mais bien de vivre dans le présent car le temps court très vite. Le futur ne peut se penser que lorsqu'on sait ce qu'on veut dans le présent. Les choix sont durs, sont douloureux MAIS essentiels pour ne plus rêver ce que l'on voudrait, et enfin vivre EFFECTIVEMENT ce que l'on souhaite.
En fait on ne sait qu'à la fin qu'il est atteint d'un cancer, et que durant tout le film il n'agit qu'en fonction de cette putain de maladie.
La chanson de fin de Serge Reggiani vient asseoir cette idée, avec force, émotion et sincérité.
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le 19 févr. 2013
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La technique au service de la composition
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