L'enfer et le paradis
Trois années après De Rouille et d'os, Jacques Audiard revient avec Dheepan, tout juste auréolé d'une première palme d'or pour lui, où il va mettre en scène le destin d'un ancien soldat rebelle,...
le 29 août 2015
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Je l’ai vu. Je vous dis tout ça de mémoire parce que ça fait tout de même bien longtemps que je l'ai vu. Et je ne l'ai vu qu'une fois, pas fou ! La particularité d'Audiard, on ne peut pas lui enlever ça, c'est que quand on commence à regarder l'un de ses films plus de quelques minutes, on a du mal à en décrocher, on reste rifté sur l'écran, à subir avec dégoût et fascination les horreurs qu'il nous assène, les coups de pied au foie et les yeux au beurre noir "artistiques" qu'il produit par pur sadisme. Et on a le malheur de se souvenir d'images subreptices qui ancrent l'horreur et le désarroi d'avoir subi un tel film mais de toujours éprouver, malgré tout, de l'Amour pour le Septième art. C'est du masochisme, c'est du sadisme, c'est un cercle vicieux, c'est du Audiard ! lire la suite de la critique...
Créée
le 18 sept. 2018
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