#Bringbackourgirls
Dilili à Paris, le masqué, il a failli boycotter. Car Michel Ocelot, c'est loin d'être son copain, surtout après un Kirikou en exploitation triple, qui, malgré lui, charriait les pires images d'un...
le 13 oct. 2018
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On avait eu en son temps Owen Wilson chez Woody Allen, nous voilà chez Ocelot avec Dilili à qui un transporteur fait découvrir Paris et le Tout-Paris de la Belle Epoque, et c'est bien là que le bât blesse ! Passée la visite guidée un peu lourdingue, on nous sert une enquête quelque peu décousue : débusquer et déjouer les plans des mâles-maîtres qui enlèvent des petites filles pour qu'elles deviennent des asservies à "quatre pattes' - vêtues d'un niqab et retenues prisonnières en banlieue, forcément. Bien sûr le procédé technique, incrustations de dessins animés dans des photographies de Paris, nous émerveille, mais passé l'émerveillement, nous nous agaçons des incohérences, de la longueur, des clichés. Entre docu-fiction et plaidoirie féministe ? C'est raté !
Créée
le 23 oct. 2018
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Quelle daube ! Je ne comprends pas comment on peut arriver à un désastre pareil. Dilili à Paris n'a rien pour lui, je ne comprends même pas à qui il peut bien s'adresser. Il est indiqué sur allociné...
Par
le 2 août 2021
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Mais quelle horreur de film ! Après les réussites de "Kirikou" et, dans une moindre mesure de "Azur et Asmar", il est difficile d'imaginer que Michel Ocelot puisse pondre un machin aussi détestable...
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le 12 avr. 2021
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