Le parcours vers la rédemption de John Callahan, alcoolique, dessinateur satirique, devenu tétraplégique à 21 ans. Né en 1951, décédé en 2010.


Coup de coeur pour ce film dont le discours sur l’alcoolisme se situe par delà le bien et le mal.


Construit sous forme kaléidoscopique, dans un éclatement temporel, l’histoire garde une grande cohérence, dans le sens de la rédemption de John Callahan. Gus Van Sant recolle les morceaux au fur et à mesure.


L’essentiel du temps est consacré aux discussions dans le groupe de parole des Alcooliques anomymes, et leur effet sur le quotidien du dessinateur.


Les acteurs sont épatants et investis, notamment Jonah Hill et Joaquin Phoenix, des rôles plus discrets sont attribués à Rooney Mara et Jack Black.


Mon blog : https://larroseurarrose.com/

AnneM
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 7 avr. 2018

Critique lue 526 fois

5 j'aime

AnneM

Écrit par

Critique lue 526 fois

5

D'autres avis sur Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot

Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot
-MC
8

Wonder Wheels

Si je suis encore loin d'avoir abouti la filmographie de l'Américain Gus Van Sant, j'ai un attrait pour elle, je compte bien voir ses autres œuvres, sans pour autant me presser, laissant l'occasion...

Par

le 26 avr. 2018

10 j'aime

Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot
JorikVesperhaven
5

Sauvé par ses acteurs mais ronronnant et bordélique, ce film confirme la neurasthénie actuelle de l'

On a connu Gus Van Sant plus en verve. Après « Nos souvenirs » à sa très détestable (mais visiblement méritée) réputation ou encore un « Restless » bien peu passionnant, le voilà qui s’attaque à une...

le 5 avr. 2018

6 j'aime

1

Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot
AnneM
8

Critique de Don’t Worry, He Won’t Get Far on Foot par AnneM

Le parcours vers la rédemption de John Callahan, alcoolique, dessinateur satirique, devenu tétraplégique à 21 ans. Né en 1951, décédé en 2010. Coup de coeur pour ce film dont le discours sur...

le 7 avr. 2018

5 j'aime

Du même critique

Lands of Murders
AnneM
7

Critique de Lands of Murders par AnneM

De « La Isla Minima » projeté en salles en juillet 2015, j’ai retenu l’atmosphère sombre, les paysages aériens, la musique envoûtante, les tensions liées au contexte post-franquiste et la noirceur de...

le 26 juil. 2020

8 j'aime

À mon âge je me cache encore pour fumer
AnneM
10

L'humour comme politesse du désespoir

Alger en 1996, en pleine explosion de violences et extension de l'islamisme. Samia et Fatima travaillent dans un hamman. Ce jour-là, alors qu'elles reçoivent les habituées, Mereim, tombée enceinte...

le 2 mai 2017

7 j'aime

L'Ami : François d'Assise et ses frères
AnneM
6

Ambiance médiévale réussie, superficialité du débat théologico-polique

Début du XIIIème siècle. François et sa fraternité veulent fonder un ordre, mais la règle qu'ils proposent ne convient pas au Pape. Leur fraternité, tolérée, n'est pas officialisée. Les projecteurs...

le 29 déc. 2016

7 j'aime

3