Beaucoup aimé le film. Au delà de la recherche d’arguments et de faire triompher la vérité pour épargner la vie, il me semble que non pas 12 hommes sont en colère mais 1 seul; celui à la relation douloureuse avec son propre fils. Sa haine se reporte sur ce jeune condamné mais en fait il me semble que c’est bien lui qui s’est senti poignardé par son fils quand celui là même est parti.
Le meurtre est un coup de poignard dans le cœur et renvoie à la métaphore de la blessure relationnelle. (Tu m’as poignardé pour dire tu m’as trahis)
L’architecte renvoie à une figure, en blanc, assez divine, assisté du vieux monsieur qui le soutient et se range en second à la cause. Les personnalités se déclinent pour enfin faire ressortir l’évidence.